Halte au Sexisme

« Parce que les hommes et LGBTQ+ battus d’aujourd’hui vivent le calvaire des femmes battues d’hier. »

 

 

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :

les oubliés de la France

 

1 homme sur 4 est victime de harcèlement sexuel au travail *.

1 600 000 hommes victimes d’un stress post-traumatique (SPT) à la suite d’un viol ou d’une tentative de viol subi dans leur vie *.

146 000 hommes victimes par an de violences conjugales tous types confondus *.

26 000 hommes victimes par an de violences sexuelles commises par leur conjoint.e ou ex-conjoint.e *.

67 500 hommes victimes chaque année de violences sexuelles physiques au travail *.

 

Et vous ? Quelle victime de la France misandre êtes vous ?

Violences conjugales,
agressions sexuelles
 :
la France de la honte !

 

0 plaquette informative de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 page Internet de l’État où l’homme apparaît comme victime.

0 précision de l’État pour dire que des structures prennent aussi en charge les hommes victimes.

0 structure d’État spécifiquement dédiée aux hommes victimes.

3 communications de l’État qui précisent qu’un homme a aussi droit au statut de victime ( 1, 2, 3 ).

99.7% communications de l’État qui suggèrent un sexe masculin pour évoquer un agresseur, mais  JAMAIS il n’y est suggéré qu’une victime puisse être un homme.

 

À la maison,

vous aussi ?

Appelez le 3919

(7j/7, de 8h à 22h)



Votre enfant,

risque ça ?

Appelez le
01 47 70 25 34

(7j/7, 24h/24)

ACTUALITES - des femmes parfaites et de leurs victimes en 2021.

 

Attention : cette page-ci est tenue sur un ton sarcastique. Nous y traitons l'actualité avec ironie, dérision, caricature et donc humour (forcément de mauvais goût pour celles et ceux qui ne les conçoivent qu'à géométries variables). Avec ces moyens d'expression nous y poussons donc l'exagération à l'extrême, au point qu'il ne puisse échapper à personne de sensé qu'il s'agit effectivement d'exagération. Notre objectif : expliquer qu'à nos yeux le néo-féminisme extrémiste tient un discours stigmatisant, haineux et discriminant basé sur des clichés sexistes misandres, et que l'actualité quotidienne la plus dramatique démontre qu'il est incohérent.


Au cinéma, au JT de 20h, dans la bouche des associations ultra-féministes les plus extrémistes et celle de nos politiciens préférés, l'homme est un méchant pervers sadique brutal obsédé sexuel, sans cœur, sans-âme, dénué de compassion qui n'attend qu'une occasion pour sauter sur une femme et la frapper en n'oubliant pas de la violer au passage parce que sinon ce n'est pas drôle. Quant à la femme, elle est forcément gentille, une pure sainte fragile innocente vierge incapable de faire le moindre mal parce que génétiquement programmée pour être une victime et faire le bien sur Terre. Manque de bol, lorsqu'on va au delà de ces clichés sexistes on se rend compte que dans la vraie vie ça ne se passe pas tout à fait comme ça.

Au delà de ce manichéisme misandre institutionnalisé qui infantilise la population, voici au long cours l'actualité de gentilles et saintes femmes qui volent, escroquent, battent, violent et torturent forcément toujours avec tact, grâce et innocence, et celle de leurs victimes, compagnes, gros vilains méchants conjoints et enfants qui l'ont donc forcément bien cherché.

Vous pouvez aussi découvrir l'actu copieuse des femmes parfaites et de leurs victimes en  202320222021202020192018  et  décembre 2017.



 

17 décembre 2021, Lyon : Maman avait asphyxié ses deux filles par vengeance.

Découvrant que son mari voulait divorcer, cette maman possessive craignait la possibilité d'une garde alternée et qu’une autre femme ne lui prenne ses enfants. Elle aura donc attendu l'absence du papa gendarme parti participer à une épreuve sportive, puis aura mis son plan macarbre à exécution à la caserne de Limonest où toute la famille vivait. Avec un oreiller elle aura étouffé tour à tour Alya et Lina, ses deux fillettes âgées d'à peine 3 et 5 ans.

Le procureur parlera d' « un acte préparé, calculé, prémédité », d'un meurtre commis par une mère dans une « logique de rupture et d’annulation radicale » pour effacer ses propres échecs et priver son conjoint de sa descendance. « Elle ment tout le temps, elle manipule, elle accuse, elle se pose en victime comme elle l’a fait toute sa vie. » « La société ne peut pas accepter qu’on enlève la vie par vengeance, qu’on enlève la vie à ses propres enfants ».

Verdict : 28 ans de réclusion criminelle.
Une source : Le Figaro.



 

16 décembre 2021, Maîche : Elle viole un garçon de 13 ans, verdict 6 mois de prison avec sursis.

Les faits datent du début de cette année, lorsque cette femme commence par envoyer des photos d'elle toute nue au fils de la compagne de son propre père. Quelques jours plus tard, âgé d'à peine 13 ans le garçon se voit proposer un "jeu" ou elle s'assied à califourchon sur son sexe alors qu'il est allongé. Elle finira par le déshabiller puis à le contraindre à la pénétrer alors qu'il dit "Non !".

Depuis le quotidien du jeune garçon est synonyme d'horreur, sa maman expliquant qu'il « vit dans la culpabilité et le dégoût de lui-même ». Pour sa défense la jeune femme invoquera ses petits problèmes d'alcool, de drogue, d'addiction à la kétamine... Des faits qui selon la loi devraient constituer des éléments aggravants, mais bon c'est une femme, il faut la comprendre la pÔvre !

Rappelons que l'article 222-23 du Code Pénal spécifie qu'une femme qui contraint un homme à la pénétrer commet un viol. On imagine tous la peine qui aurait été prononcée si le prévenu avait été un homme, là c'est une femme qui viole un mineur donc bon, c'est forcément moins grave...

Verdict : 6 mois de prison avec sursis probatoire de 2 ans, obligation de soins, interdiction d’exercer une activité en lien avec des mineurs pendant une période de dix ans, 3 000 euros de dommages et intérêts.
Une source : L'Est Républicain.



 

7 décembre 2021, Saint-Brieuc : Elle fait vivre l'enfer à son mari, son fils et ses voisins.

La technique est désormais connue de trop nombreuses femmes mal intentionnées, en cas de divorce conflictuel il suffit de faire signer à ses voisins une fausse déclaration de témoignage pour ensuite pouvoir passer pour une femme battue et pourrir la vie d'un conjoint. Sauf que dans cette affaire les voisins refuseront de signer le faux, ils étaient devenus méfiants en découvrant qu'elle avait fait courir le bruit que sont mari se trouvait en France sous une fausse identité.

Suite à ce refus la prévenue n'hésitera pas à pourrir la vie de ses voisins, pendue des heures durant à la sonnette de l'un d'eux, envoyant des tonnes de courriers à un autre, n'hésitant finalement pas à poursuivre la fille d'un troisième pour débarquer chez elle dans le Morbihan. Par la suite la prévenue tentera d'écraser son mari en le percutant avec la voiture. Suite à une garde à vue, elle s'enfuira avec son fils qu'elle blessera dans une chambre d'hôtel en lui lançant un ordinateur au visage. Ce dernier sera contraint de se rendre seul aux urgences pour faire suturer les plaies.

Verdict : 5 mois de prison ferme, 7 mois de prison avec sursis, obligation de soins et interdiction de paraître à Guingamp, interdiction de contacter ses victimes.
Une source : 20 Minutes.



 

7 décembre 2021, Blangy-sur-Bresle : Maman embrassait le sexe de son garçon « pour voir comment il réagissait »...

... Ce seront les propres mots de cette mère qui avouera avoir pris du plaisir à commettre ces faits sur son garçon de 4 ans. Plus tôt l'enfant se sera confié à la nouvelle compagne de son père, lui demandant « de ne pas lui toucher le zizi comme le fait maman ».

Pour sa défense la prévenue expliquera avoir été en manque de sexe, elle tentera de prendre ses juges pour des jambons en se présentant comme ancienne victime d'attouchements sexuels, lorsqu'elle-même avait 15 ans. Le président du tribunal ne se laissera pas avoir, il lui rétorquera : « Est-ce que vous vous rendez compte des conséquences de vos actes sur le psychisme de cet enfant ? »

Verdict : 2 ans de prison dont 12 mois assortis d’un sursis probatoire de deux ans portant obligation de soins et interdiction d’exercer une activité en lien avec des enfants. Inscription au fichier des auteurs d’infractions et de violences sexuelles (FIJAIS).
Une source : Le Courrier Picard.



 

1er décembre 2021, Bobigny : Elle n'aura pas réussi à faire condamner son conjoint victime.

Sur les réseaux cette athlète judoka se présentait comme victime... Sauf que visiblement pour le tribunal il s'agirait plutôt de violences réciproques, monsieur ayant aussi reçu des coups et 4 jours d'ITT. Le tribunal aura donc décidé qu'il n'était pas là pour trancher entre deux personnes qui ont un peu de mal à se parler autrement qu'avec les poings.

Depuis ce jugement évidement vos médias acquis à la cause féministe woke prennent cause pour la plaignante, sans connaître le dossier, alors que Monsieur était aussi plaignant (mais chut il ne faut pas le dire !) Car c'est bien connu, en cas de violences réciproques les tribunaux médiatiques se jettent dans les culottes des protagonistes pour déterminer qui est victime et qui est coupable. Aujourd'hui un tribunal républicain formé de juges professionnels aura donc dit NON à ce voyeurisme ! Car les femmes violentes ça existe et beaucoup plus qu'on ne le croit. Des femmes qui utilisent les clichés sociétaux misandres et exploitent l'esprit ultra-féministe woke qui gangrène notre société pour frapper leur conjoint qui se défend comme il peut et qui doit ensuite se justifier de ne pas être resté passif.

Rappel : si 10% des femmes battues osent parler, seulement 3% des hommes battus parviennent à surmonter les préjugés sociétaux liés à leur sexe et appeler à l'aide. Ce qui revient à dire que les clichés de sexes liés aux violences conjugales touchent entre 3 et 4 fois plus les victimes de sexe masculin que les femmes. Une femme battue ça fait bondir notre société, hurler et bouger les ministres, alors qu'un homme battu par sa femme ça fait rire toute le monde, ça heurte un des tabous les plus forts de notre société parce que l'homme est sociétalement perçu comme "fort", "un homme ça ne pleure pas". Autre preuve de l'emprise de ce tabou sur notre société : en cas de violences réciproques dans un couple, instinctivement c'est la femme que notre société présumera victime et l'homme agresseur avant même ouverture de toute enquête alors que tous deux sont à la fois plaignants et présumés innocents. Mais victime=femme dans notre inconscient collectif qui s'en retrouve totalement biaisé sur tout jugement hâtif.

Hélas nombre de femmes violentes savent exploiter judicieusement les perceptions biaisées et sexistes de notre société ; avec brio les tribunaux ont su déjouer un très grand nombres de cas évidemment peu médiatisés parce que à l'encontre de la bienpensance. Enfin il est aussi à rappeler dans cette affaire que les 3 magistrats du tribunal ont eu un doute que les coups reçus ne soient pas dus à un combat sportif qui aurait été un peu plus violent que d'habitude.

Dans cette affaire le Parquet a décidé de faire appel, rappelons qu'un Parquet se comporte suivant la politique du moment, une politique qui invisibilise systématiquement les hommes battus alors qu'ils représentent un tiers des victimes de violences conjugales (confère rapport CVS 2018 page 84).

Verdict : Relaxe (appel pourvu).
Une source : L'Équipe.



 

12 novembre 2021, Sablé-sur-Sarthe : Elle organise son propre enlèvement, la Culture de l'Excuse à l’œuvre.

Tout était faux ! Ça n'aura pas empêché la Presse et les politiciens de s'enflammer (élections Présidentielles à l'approche obligent) sur cette affaire bidon d'une nouvelle joggeuse enlevée ! Retrouvée avec quelques égratignures, aux enquêteurs elle racontera avoir été kidnappée par des hommes (être kidnappée par des femmes, ça impacte moins l'opinion publique) puis être embarquée dans une camionnette verte etc. C'était pipeau de A à Z, une nouvelle fable. On se rappellera, il y a quelques mois, un woke-féminisme et ses ministres nous affirmant que toute femme qui se prétendrait victime d'une agression dirait forcément TOUJOURS la vérité. Dont acte...

Depuis, la Culture de l'Excuse est à l’œuvre dans vos médias. « La PÔÔÔvre, il faut la comprendre », « elle est victime d'elle-même », « il ne faut pas la culpabiliser », « il faut chercher à l'aider »... Ça en deviendrait presque indécent. On ne peut que s'interroger sur l'empathie à géométrie variable dont font preuve les médias : dans moult cas et surtout lorsque le sujet est un homme alors ces mêmes médias ne cherchent pas une seule seconde à comprendre son geste, avant même toute fin d'enquête il est définitivement désigné comme ordure publique numéro-une, à abattre dans toutes les colonnes de vos journaux où on s'évertuera à le déshumaniser aux yeux de l'opinion. Mais lorsqu'il s'agit d'une femme alors ces mêmes médias pondent en boucle des articles mielleux, dégoulinant de mansuétude, où cette personne qui aura trahi tout un pays autant que père et mère sera excusée d'office, où on s’évertuera à la déresponsabiliser, quitte à la présenter - elle - comme unique victime. Seule différence entre ces deux attitudes médiatiques manichéennes, un sexe, reçu à la naissance.

On ne peut que s'insurger face à ce procédé manipulateur émanant du Quatrième Pouvoir, une tactique politique consistant à inviter les lecteurs à systématiquement regarder dans la culotte des prévenu(e)s pour décider s'ils sont dignes du pilori ou de l'absolution.

Encouru : 6 mois de prison et 7500 Euros d'amende. (Article 434-26 du Code Pénal).
Une source : LCI.



 

26 octobre 2021, Juvisy-sur-Orge : Elle abandonne son bébé sur le quai du RER ?

Vendredi 22 octobre 2021 aux alentours de 17h, sur le quai du RER C à Juvisy-sur-Orge, une femme demande l'aide d'un voyageur pour descendre sur le quai une poussette et son bébé. Elle remonte alors dans le train et laisse l'homme et le bébé pendant que le train repart. La mère ne donnera aucune nouvelle pendant trois jours, pour la retrouver un appel à témoin sera finalement lancé hier lundi par la Police Nationale.

Bonne nouvelle ce matin, nous avons appris que la mère s'est finalement présentée à la police, "Grâce à vos retweet la maman s'est présentée au commissariat" confiera la police nationale de l'Essonne. L'appel à témoin a donc été levé, l'enquête est toujours en cours pour essayer de comprendre ce qu'il s'est passé.

Encouru : 2 ans de prison et 30 000 Euros d'amende (Article 227-17 du Code Pénal).
Une source : Actu.fr.



 

22 octobre 2021, Évreux : Alexandra Richard : la fable de la femme battue rejetée en appel !

Elle avait raconté avoir voulu faire peur à son mari en allant chercher un fusil, avoir gentiment pris le temps de le charger, puis finir par le lui pointer dessus. Parce qu'en France les armes sont l'incarnation du Mal et qu'elles sont donc dotées d'initiative, le coup serait alors - parti tout seul -. Ou comment prendre les jurés pour des jambons...

Une histoire qui ne tient pas la route, donc une occasion en or pour les avocates du féminisme-woke de lancer une nouvelle opération Ouin-Ouin ! médiatique, quitte à exposer leur cliente aux caméras, lui faire broder une fable qui n'a rien à voir avec les faits, et ainsi la mettre en danger. Objectif : encore une fois manipuler l'opinion publique pour transformer la vérité d'un meurtre en un joli conte de princesse et de méchant dragon, la cause féministe a besoin de martyres !

Heureusement pour la seconde fois le tribunal ne se fera pas avoir, l’avocat général relevant que l’accusée a une « difficulté avec la réalité », « Alexandra Richard a développé des éléments d’agression, des menaces de mort qui ne sont pas vérifiables. Plus le temps passe, plus elle en rajoute. ». La peine prononcée en appel sera exactement la même que celle prononcée en première instance.

Quant à nous, nous suggérons une nouvelle fois aux femmes inculpées de meurtre sur leur conjoint de fuir les avocates du féminisme-woke : enfoncer une cliente au nom d'une idéologie de haine, est-ce bien compatible avec un serment qui impose d'exercer les fonctions d'avocat avec dignité, conscience, indépendance, probité et humanité ?

Verdict : 10 ans de réclusion criminelle
Une source : Ouest-France.



 

20 octobre 2021, Marseille : Se sachant enceinte, elle aurait accouché puis tué son bébé dans un TGV.

Pas moyen cette fois-ci d'invoquer un déni pour se dédouaner de son infanticide, selon les premiers éléments de l'enquête cette femme qui aurait accouché dans un TGV Lille-Marseille puis tué son bébé avant de le jeter dans la poubelle du train savait parfaitement qu'elle était enceinte.

Rappelons que selon Anne Tursz, pédiatre épidémiologiste de l’INSERM et spécialiste du sujet, les avocats défendant des femmes auteurs de néonaticides auraient une tendance systématique à lier le néonaticide au déni. Cela poserait une suspicion d'assassinat sur les personnes atteintes d'un véritable déni, autant que ce perçu pourrait servir d'outil judiciaire pour blanchir les femmes conscientes d'être enceintes et commettant un néonaticide. Selon cette spécialiste le vrai déni est une pathologie psychiatrique rarissime et non un concept opérationnel.

Encouru: réclusion criminelle à perpétuité (article 221-4 du Code Pénal)
Une source : 20 Minutes.



 

27 septembre 2021, Tonnoy : Poursuivie pour meurtre sur son conjoint, une femme connue pour violences l'aurait massacré à coups de pieds.

Alcoolisée jusqu'aux oreilles elle tentera d'enfumer les enquêteurs façon Jacqueline Sauvage en racontant avoir été giflée par son époux juste avant les faits... Impossible à vérifier, c'est si commode ! Si on l'écoute, l'homme serait ensuite tombé à terre, évidemment tout seul, elle « en profite pour lui donner des coups de pied » d'après ses propres dires. Sauf que, ce qu'elle qualifie de simples « coups de pieds », il en mourra. Les enquêteurs trouveront à proximité une paire de chaussures baignées de sang.

Petite recherche dans le Casier Judiciaire... Oh surprise ! La pôoovre femme est connue pour alcoolisme et violences entre autre sur sa fille de 17 ans. Pour ces faits elle a été condamnée en 2020 à 3 mois de prison avec sursis.

Nous remarquons que lorsqu'une femme est présumée tuée par son conjoint alors dans les 24 heures vos médias, politiciens au pouvoir et féministes préférées hurlent au féminicide, font tourner leurs compteurs pipés, ceci avant même la fin de l'enquête. Une enquête qui souvent conclue soit à un suicide, soit un accident domestique, soit un meurtre commis par un tiers au couple. Là, la prévenue reconnait elle-même avoir porté les coups mortels, pourtant pas seul un politicien ni une seule féministe ne prend la parole dans vos médias pour dénoncer ce crime. En France on appelle cela l'égalité Femmes-Hommes, une honte !

Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité (article 221-4 du Code Pénal)
Une source : France Bleu.



 

23 septembre 2021, Beauvais : Elle plonge la tête de son fils dans les toilettes et fait subir des tortures dignes de Guantanamo à ses enfants, mais pour vos médias c'est la faute du père.

Une merveilleuse démonstration que dans notre société vagino-centrée lorsqu'une mère a toute seule l'idée d'infliger des tortures à ses enfants, contraints de déjeuner par terre, contraints de rester toute une journée genoux au sol, contraint d'être noyé dans la cuvette des toilettes... Forcément comme la tortionnaire est une femme alors ce n'est pas de sa faute mais celle du père, un papa qui n'était ni présent ni au courant des faits.

Certes oui, cet homme a jadis été un criminel, condamné pour viols sur ses enfants, oui, odieux, ignoble, inexcusable ! Mais cela autorise-t-il la mère à commettre ensuite des actes de tortures sur ses enfants ?

Vos médias pilotés par les réseaux féministes suggèrent que oui. Car si c'est bien la maman toute seule, et pas lui, qui a eu l'idée de ces tortures, c'est lui que vos journaux suggèrent comme responsable de ces horreurs, alors qu'il n'était même pas au courant des faits. D'ailleurs la fille témoignera en ces mots : « Les punitions, c’est elle qui les a inventées, pas mon père. Pour les punitions à genoux, elles pouvaient durer la journée .»

Alors, autant criminel qu'il ait pu été un jour, est-il normal de faire supporter au père toutes les fautes commises par la mère sur ses enfants ? Autre question de bon sens : va-t-on fouiller le passé honteux d'une maman lorsqu'un père commet un délit sur ses enfants ? Évidemment non. Alors pourquoi le faire lorsque c'est maman qui torture ses enfants ?

Nous ne pouvions donc que dénoncer cette magie maléfique des médias ultra-féminisés, ces organes de Presse qui ont comme réflexe de déresponsabiliser à tous prix les mamans qui commettent des horreurs sur leurs enfants. Dans cette affaire la justice a heureusement confirmé qu'être une femme de donne pas le droit de commettre un délit sur ses enfants, ni d'en rendre responsable qui que ce soit d'autre qu'elle et elle seule.

Verdict : 10 mois de prison avec sursis.
Une source : Ouest-France.



 

22 septembre 2021, Rennes : Elle veut régulièrement se suicider et avait intoxiqué sa petite fille avec des médicaments mélangés à du coca...

... La plus grande des deux filles refusera quant-à elle de boire ce mélange de somnifères et de psychothropes tendu des mains de sa mère. A l'arrivée des secours la mère criait des propos suicidaires, plus tard devant ses juges elle avancera comme excuse être alcoolique depuis une vingtaine d'années. C'est donc moins grave ? La défense fera valoir que cette mère avait perdu une de ses filles en 2019, par empoisonnement, comme si cela justifiait le fait de vouloir empoisonner les deux autres...

Plus inquiétant encore le procureur relèvera que cette mère a une « intention d’homicide s’inscrivant dans le temps » avec un souhait de « partir dans les étoiles avec ses filles » lorsqu'elle est ivre. Il requiera un retrait de l'autorité parentale mais malgré le risque ne sera pas suivi par les juges...

Verdict : 1 an de prison, 4 ans de suivi sociojudiciaire avec obligation de soins.
Une source : Ouest-France.



 

2 septembre 2021, Avignon : Maman avait agressé sexuellement sa fille et jouait à des jeux érotiques avec ses autres enfants.

La prévenue expliquera avoir eu « une pulsion sexuelle en voyant sa fille se déshabiller », des faits dont la datation semble impossible mais qui ont eu lieu alors que la fille avait entre 6 et 10 ans. Interrogée la prévenue commencera par nier les faits puis les reconnaîtra avant d'avouer ensuite s'être adonnée à des jeux érotiques avec ses autres enfants.

La défense invoquera que la prévenue avait été violée par son père dans son enfance, les violeurs et violeuses de France seront donc ravis d'apprendre que ceci peut constituer un élément à décharge.

Verdict : 5 ans d'emprisonnement dont 3 avec sursis, obligation de soin et de trouver du travail, 5300 Euros de dommage à verser à sa fille.
Une source : 20 Minutes.



 

20 juillet 2021, Relecq-Kerhuon : Maman tue ses fillettes parce que papa veut la quitter ?

Le meurtre d'un enfant, c'est inexcusable ! Bon, ça c'est uniquement lorsque le tueur est un homme ; lorsque c'est une femme alors c'est une toute autre histoire. On aura même fabriquée une excuse pondue sur mesure exclusivement pour elle, le "meurtre altruiste", son invocation est strictement interdite aux hommes ! Pensez donc, un homme altruiste dans la France du 21ème siècle... Vos néo-féministes préféré(e)s vous répondront qu'il en existe plein, mais qu'ils sont tous homosexuels ou transgenres. Les clichés de genre...

C'est donc l'histoire d'une pauvre douce et gentille maman qui tue avec gentillesse et altruisme ses deux fillettes de 4 et 6 ans, en les noyant avec délicatesse et amour, parce que papa s'en va... Salaud de mec, tous les mêmes ! Bon, si à la place de la maman tueuse d'enfants ça avait été un homme tueur au motif que sa femme le quitte, scandale nationale en boucle dans vos médias pendant une semaine minimum ! Salaud de mec possessif, oppressant etc. Un mec quoi !

Et dire que certaines personnes osent encore parler de patriarcat...

Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité (article 221-4 du Code Pénal).
Une source : Le Parisien.



 

3 juin 2021, Montblanc : Parce qu'il est accusé à tort de violences conjugales, sa fille meurt de maltraitances chez la mère.

Vos ministres néo-féministes préférés, n'auraient-ils pas été une nouvelle fois les soldats de la Mort, ces décideurs qui considèrent que toute plainte déposée pour violences conjugales contre un homme doit mener à le présumer coupable et à son éloignement familiale ? Car c'est probablement ce qui aura tué Amandine, 13 ans, victime de maltraitances chez sa mère.

Car selon vos médias, cela faisait 2 années qu'elle en était la souffre douleur, victime d'une maman qui pour détruire la famille n'hésitera pas à déposer plainte contre le père au nom de violences conjugales imaginaires. Objectif : éloigner les enfants de leur père, un papa qui explique ainsi les suites qu'il aura enduré : « Quand on est soit-disant un homme violent, alors que je ne le suis pas du tout, vu que la justice a été claire pour moi. On est catalogué, on émet énormément de réserves, et donc on a aucun droit ».

Pendant plusieurs mois il sera donc séparé de force de ses trois enfants, avec interdiction de les voir, soit-disant pour leur bien, avant d'être totalement relaxé de l'ensemble des poursuites. Sauf que selon vos journaux, entre temps Amandine subira les maltraitances répétées de sa mère. Elle en mourra, le médecin légiste constatant un corps inerte ne pesant plus que 28 Kg pour 1m45.

Face au corps décharné de sa fille le papa confiera : « J’avais l’impression de voir quelqu’un comme dans l’Holocauste, je disais que c’est très fort, ces personnes qui étaient très très maigres, la peau sur les os, et bien voilà, c’était quasiment la même chose ! ». La mère a été incarcérée en attendant son procès pour maltraitance ayant entraîné la mort sur mineur de 15 ans par ascendant.

Quant à nous, nous nous demandons que penser d'une société dont les décideurs poussés par une idéologie de haine font voter des lois de mépris de l'être humain, des lois d'abolition de la présomption d'innocence. Que penser d'élites qui depuis plusieurs années érigent en véritable dogme la culpabilité présumée de 50% de la population humaine, parce que née avec un sexe masculin, et qui arment l'esprit criminel de mères ainsi motivées pour tuer leurs enfants.

Encouru : 20 ans de réclusion criminelle (Article 222-8 du Code Pénal).
Une source : BFM-TV et RMC.



 

1er juin 2021, Saint-Brieuc : Une femme lesbienne poignardée en plein coeur par sA conjointE, silence des médias et de vos politiciens.

C'est le cœur qui a été touché, frappé par la lame de 20 centimètres d'un couteau de cuisine. La personne suspectée du geste est sa compagne de 34 ans, une femme déjà soupçonnée de nombreux faits de violences envers sa conjointe, ce coup de couteau serait la conséquence d'une énième dispute. La suspecte a été placée en garde-à-vue, au cours de son audition elle raconte avoir voulu se suicider en se taillant les veines et que le coup aurait été porté accidentellement lorsque sa conjointe aurait tenté de l'en empêcher... Depuis, comme la victime est une femme lesbienne et la suspecte aussi une femme, sa compagne, alors c'est l'omerta : à part deux quotidiens qui relatent l'affaire aucun de vos journaux télévisées ne s'y sont intéressés, tous ont préféré s'étendre des heures durant sur d'autres tentatives de "féminicides" forcément plus intéressantes car commises par des hommes sur leurs femmes.

Un nouvel exemple des méfaits du néo-féminisme à géométrie variable qui impose sa loi sexiste auprès des médias et des politiciens, deux poids deux mesures en fonction des sexes, des genres : lorsque la victime de violences conjugales est une femme lesbienne ou lorsque c'est une femme qui tue un conjoint alors officiellement ce n'est pas grave et il est urgent de se taire ! Quant aux compteurs de féminicides, étrangement là aussi ils semblent avoir été débranchés.

Rappel : en 2021 la France atteint péniblement le 34ème rang au classement mondial de la Liberté de la Presse.

Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité (article 221-4 du Code Pénal)
Deux sources : France-Bleu, 20 Minutes.



 

27 mai 2021, Béziers : Pour « se débarrasser de ses enfants » elle les tabasse.

Ce sont ses propres mots qui font suite à son arrestation après que l'alerte ait été donnée par les services de l’inspection académique de l’Éducation Nationale. Coups de pieds, gifles, projectiles lancés sur eux, selon l'enquête tout était bon pour les éliminer du foyer.

Deux enfants de la fratrie, mineurs, ont été confiés aux services de l’aide sociale à l’enfance, le troisième a pu resté chez lui car il est majeur. La mère a été placée en détention jusqu'à son procès.

Encouru : 3 ans de prison et 45 000 Euros d'amende (Article 222-13 du Code Pénal).
Une source : Midi Libre.



 

21 mai 2021, Grenoble : Maman avait fracturé le crâne de son bébé d'un mois, il en mourra.

L'autopsie du corps du petit Mehdi révélera la présence d'une double fracture au crâne de l'enfant, ainsi qu'une hémorragie cérébrale qui aura entraîné sa mort, d'autres fractures anciennes seront aussi décelées sur son corps.

Cette mère parfaite essaiera de prendre les enquêteurs pour des saint-marcellins en leur racontant avoir eu des spasmes la semaine passée, ce qui aurait involontairement fait tomber l'enfant. Puis au procès elle racontera que la chute avait eu lieu la veille... Elle tentera ensuite d'exploiter le cliché sociétal de l'homme "forcément violent" pour faire croire que c'est le père qui l'aurait secoué, échec !

Verdict : 6 ans de réclusion criminelle pour la mère, le père sera acquitté.
Une source : Le Dauphiné.



 

16 mai 2021, Angers : Sans raison, elle poignarde un homme à trois reprises.

Âgée de 51 ans l'agresseuse participait à une fête où l'alcool coulait à flot. On ne sera semble-t-il jamais pourquoi mais tout d'un coup elle saisit un couteau et poignarde la victime à l'épaule à trois reprises.

Pris en charge rapidement une ITT de trois jours sera prononcée par les médecins au bénéfice de cet homme de 52 ans. Dès le lendemain l'agresseuse sera déférée au tribunal dans le cadre d'une comparution sur reconnaissance de culpabilité immédiate, ni elle-même ni les témoins présents pendant la soirée ne sauront expliquer son geste.

Nous, nous pensons que c'est parce que grâce au néo-féminisme aujourd'hui en France quand un homme poignarde une femme cela fait la Une de vos quotidiens nationaux et des propos tenus dans la bouche commune de vos ministres préférés, mais quand c'est une femme qui commet exactement le même geste alors ce n'est pas bien grave, c'est même considéré sociétalement comme normal, des féministes vont même s'en féliciter sur les réseaux sociaux. Alors pourquoi s'en priverait-elle ?

Verdict : 10 mois de prison, dont 5 ferme à effectuer sous le régime du bracelet électronique.
Une source : Ouest-France.



 

15 mai 2021, Verdun : Elle attaque son conjoint pendant qu'il dort...

... Griffures, morsures jusqu'au sang, telles en attestent plusieurs photographies présentes au dossier, tout ça pour qu'il s'en aille. « Quand elle m’a mordu le pectoral, la douleur était tellement vive que je lui ai mis une claque ». Pour faire cesser l'assaut il sera même contraint de la repousser violemment ce qui occasionnera plusieurs hématomes sur le corps de son agresseuse reconnue en état d'alcoolémie.

Evidemment, parce que la systémique misandre que promulgue le néo-féminisme veut que ce soit l'homme l'élément violent du couple, la furie en profitera pour prendre les magistrats pour des dragées et leur faire le coup de la femme-battue ; elle portera plainte contre son compagnon en sang. Seul le parquet tombera dans le panneau en requérant une peine aussi contre la victime, pas étonnant lorsqu'on sait que le ministère public est, en France, sous la hiérarchie du pouvoir politique. Plus objectifs et indépendants les juges reconnaîtront la légitime défense au bénéfice de l'homme victime, seule l'agresseuse sera condamnée.

Verdict : 3 mois de prison intégralement assortis d’un sursis probatoire pendant 2 ans, obligation de se soigner, de travailler, interdiction d’entrer en contact avec son conjoint victime.
Une source : L'Est Républicain.



 

12 mai 2021, Clermont-Ferrand : Jalouse, elle harcèle et menace de défigurer sa rivale à l'acide.

Cette femme de 57 ans avait rencontré sa victime sur un groupe dédié à un jeu. Les deux femmes sympathiseront rapidement et tout ira bien jusqu'au jour où sa victime se met en couple avec un homme, lui-même ami de longue date de l'agresseuse. Pour sa défense celle-ci expliquera : « Du jour au lendemain, dès qu’ils se sont mis ensemble, il a arrêté de me parler, il m’a bloquée sur les réseaux sociaux, sans aucune explication. Et ça m’a fait très mal ».

De nombreux messages insultants s'en suivront par téléphone et sur les réseaux sociaux, elle ira même jusqu'à poursuivre sa victime dans la rue et la menacer avec un récipiant rempli de liquide corrosif. Déjà connue de la justice, la prévenue reconnaitra les faits.

Verdict : 6 mois de prison assortis d’un sursis probatoire de 2 ans, obligation de soins, interdiction d’entrer en contact avec la victime, 800 € de dommages et intérêts à verser à la victime.
Une source : Ouest-France.



 

10 mai 2021, Lorient : Maman avait poignardé papa trois fois à la poitrine...

... Lui, in extremis, aura pu paré le quatrième coup qu'elle voulait lui porter à la gorge. Peu avant, cette femme de 61 ans mère de six enfants s'était alcoolisée au cours d'un apéritif qu'elle partageait avec son compagnon dont elle était séparée depuis peu. Mais ils continuaient à se voir. Ivre et en colère, elle s'était ensuite rendue dans sa chambre, une bouteille de whisky à la main. Monsieur s'était paisiblement assoupi sur le canapé, il avait rouvert les yeux sur l'image de sa compagne penchée sur lui en train de le poignarder. Ce sont les enfants qui appeleront les secours.

L'homme victime, toujours amoureux de sa compagne, ne demandera aucun dommage et intérêt. Le tribunal ne prononcera aucune interdiction à cette femme de se rapprocher de sa victime.

Verdict : 1 an de prison avec sursis probatoire.
Une source : Ouest-France.



 

7 mai 2021, Rouen : Elle frappe son conjoint après être sortie de prison.

Aux yeux du néo-féminisme elle a tout d'une femme parfaite : elle sort de 2 ans de prison pour violences habituelles sur mineures de 15 ans et, toujours sous le coup d'un sursis probatoire, elle s'en va s'alcooliser et frapper son compagnon. Celui-ci expliquera aux gendarmes : « Je lui ai fait une remarque quand elle a voulu ouvrir une nouvelle bouteille, et elle m’a giflé à plusieurs reprises au visage. »

Comme dans de nombreuses affaires d'hommes battus, toujours amoureux la victime refusera de porter plainte contre son agresseuse : « Elle a du sursis, et je ne souhaite pas qu’elle aille en prison. » Ce qui n'empêchera pas la furie de le menacer de mort devant les gendarmes. Le ministère public reconnaîtra l'homme dans son statut de victime : « Cet homme porte tous les stigmates des victimes de violences conjugales. »

Verdict : 10 mois d’emprisonnement dont 5 mois assortis d’un sursis probatoire pendant 2 ans, obligation de soins lié à son alcoolisme, interdiction d’entrer en contact avec son compagnon. L'incarcération immédiate est ordonnée.
Une source : Actu.fr.



 

7 mai 2021, Bazoches-sur-le-Betz : Elle aurait poignardé son ex-beau-fils.

C'est une femmes de 74 ans qui a été placée en garde à vue hier jeudi, les enquêteurs la soupçonnent d'avoir poignardé son ex-beau fils d'une trentaine d'années. Les faits se seraient déroulés au cours d'un différent au sujet de la séparation du jeune homme avec la fille de son agresseuse. En urgence absolue il a été transporté aux urgences, aujourd'hui ses jours ne sont heureusement plus en danger.

Encouru : 30 ans de réclusion criminelle (article 221-1 du Code Pénal)
Une source : La République du Centre.



 

3 mai 2021, Metz : Elle avait tenté de tuer son bébé de 17 mois dans la rue.

Une mère qui aura découvert tardivement qu'avoir un enfant ce n'est pas comme jouer avec une poupée : il n'y a pas de bouton on/off pour l'éteindre. Quoique pour cette femme si, il suffit d'étrangler le jouet, certains remarqueront que de toutes façon en France on ne risque pas grand chose lorsqu'on y parvient.

C'est donc en pleine rue, alors que le bébé pleurait dans son landau que, selon les témoins, la maman s'était mise à lui hurler dessus : « Ferme ta gueule ! Mais ferme ta gueule ! » Sous l'emprise de l'alcool et voyant que hurler sur un bébé pour le faire taire ça ne fonctionne pas forcément très bien, elle se sera donc mise à lui asséner plusieurs coups sur le gros bouton on/off qui lui sert de tête, avant de l'étrangler.

Comme moyen de défense à la barre on aura donc forcément droit au mug rempli des classiques ouin-ouin d'une jeune mère immature que les conjoints auront tôt fait de fuir, on aurait tendance à les comprendre. Et parce que plaider l'irresponsabilité sous emprise d'une drogue a récemment fonctionné, la prévenue tentera d'utiliser son alcoolisme pour se défausser. Sauf que cela fera bondir le procureur : « L’alcool a bon dos, il y a de la violence mal maîtrisée resurgissant à la moindre contrariété. »

Verdict : 2 ans de prison dont un avec sursis, interdiction provisoire de voir son fils, obligation de soins ainsi que de trouver un travail ou une formation, 3 000 € à verser aux parties civiles au titre du préjudice moral.
Une source : Le Républicain Lorrain.



 

20 avril 2021, Rennes : Jalouse de son conjoint, elle avait égorgé son fils de 9 ans.

La partie civile décrira ainsi le geste : « d'un coup sec, sans aucune hésitation. » L'agonie du garçon sera longue, plusieurs minutes selon les experts, pendant lesquelles le petit Nathan drogué par sa mère se videra de son sang par la jugulaire béante, son cou tranché sur dix centimètres.

La raison du drame, une fable que cette mère se sera montée toute seule alors que son couple battait de l'aile. Sa propre sœur, Valérie, aurait eu une aventure avec son conjoint, d'ailleurs elle pensait qu'il couchait « avec tout le monde ». Elle en était arrivée à cacher son propre téléphone portable dans son camion pour l'espionner. Dans sa paranoïa elle menacera plusieurs fois sa sœur et son compagnon de tuer Nathan pour qu'ils cessent leur relation, purement imaginaire comme le confirmera Valérie : « Tu t’es fait des films à propos de Laurent et moi. Jamais je ne t’aurais fait du mal .» Réponse de l'intéressée : un geste signifiant « Mon œil ! »

Le papa décrira la découverte de son fils agonisant : « Je me suis penché sur lui et j’ai tiré les couvertures sur lui parce qu’il avait froid », il aura juste avant entouré son cou d'une serviette pour freiner le flux de sang. En vain. Parlant ensuite de sa compagne : « Je lui ai demandé pourquoi elle avait fait ça. Elle m’a regardé avec un grand sourire. » Sa sœur présente au même instant sur la scène confirmera : « Elle était contente de ce qu’elle avait fait. C’était le même sourire que lorsqu’elle menaçait de tuer Nathan ». La président demandera à la mère de répondre, elle n'aura droit qu'à un « Non, ça ne regarde personne. »

Le procureur général expliquera que « Elle n’a laissé aucune chance à Nathan. Le moteur de cette femme, c’est la haine et la violence ». L'avocat du père expliquera qu'elle aura réduit l'enfant à « un objet de souffrance, un moyen d’atteindre son père.», l'avocate de la partie civile déplorera de cette mère que « les remords et la remise en cause sont inexistants ».

Effectivement, durant tout le procès la prévenue n'aura fait preuve d'aucune émotion, aucune larme, aucun mot de regret, pas un seul regard pour le père dans la douleur, ni même la moindre réponse à la main tendue par sa propre avocate pour solliciter sa cliente. Pendant tout le procès sa défense se sera résumée en une seule posture, un seul mot : silence. Cette mère ayant de longue date planifié son geste, l'altération mentale ne sera pas retenue.

Note : nous remarquons que rares sont les médias ayant traité cette affaire, d'ailleurs aucun politicien ne s'en est ému. En France, lorsqu'une mère égorge un enfant alors on parle de fait-divers, et quand un homme siffle une femme dans la rue alors il s'agit d'une urgence nationale. Les priorités du 21ème siècle sont décidément bien étranges.

Verdict : Réclusion criminelle à perpétuité.
Une source : Le Parisien.



 

18 avril 2021, Paris : Femme poussée Porte de la Chapelle, victime ou agresseuse ?

Votre ministre de l'Egalité à géométrie variable entre les femmes et les hommes ainsi que vos harpies féministes préférées auront une nouvelle fois fait l'économie de ce qui leur sert d'encéphale, dans l'affaire de cette vidéo de quelques secondes où l'on voit un homme pousser une femme du haut d'un escalier de métro... On aura même lu sur le compte Twitter de l'une d'elle qu'il s'agissait d'un cas de « harcèlement de rue » et d'une « agression physique révoltante ». Sauf que...

... Ce petit monde adepte des fables manichéennes omet de préciser que cette vidéo a été présentée subtilement tronquée, semble-t-il pour les besoins de la cause. Car lorsqu'on regarde la vidéo en entier on se rend compte que la dame - soit-disant victime - avait elle-même frappé l'homme au moins à deux reprises, et tenté un troisième coup juste avant d'être poussée. Bref comme très souvent dans pareilles altercations il s'agirait de violences réciproques.

Mais vos excitées aux seins-nus et vos officiel(le)s épris(e)s de princesses-victimes de gros méchants mâles auront tôt préféré se prononcer à la hâte en prenant comme référence les clichés de sexe qui baignent notre société, car c'est bien connu : l'homme parce qu'il est un homme est forcément l'agresseur, eh puis comme la femme est une femme alors elle est forcément la victime... Il suffit ensuite de fabriquer une jolie petite fable qui accréditera le mythe, c'est dans la poche ! Eh ben non, pas cette fois.

Le contexte de cette échange de violences réciproques, on le découvre auprès des journalistes qui auront enquêté sérieusement : un banal deal, de ceux que vos politiciens préférés sont incapables de prévenir et de stopper malgré toutes leurs vaines promesses. Qui est le/la dealer(euse), qui est le/la client(e), rien n'est sûr à l'heure actuelle. Le deal se serait simplement mal passé, mais ça, au nom de la cause féministe, on se sera aussi retenu de l'expliquer. Aux yeux de certain(e)s tout est bon pour propager les mythes manichéens et sexistes sur la violence, jusqu'à cacher la vérité et truquer ce qui lui sert de support.

Encouru : variable suivant la gravité des blessures. De 750 € d'amende si aucune blessure jusqu'à 3 ans de prison et 45 000 € d'amende si une ITT de plus de 8 jours est prononcée.
Une source vidéo : Twitter.



 

16 avril 2021, Épinal : Affaire Mia, l'enquête s'oriente vers un enlèvement commandité par la mère.

La petite fille de 8 ans disparue depuis mardi 13 mai 2021 aurait été kidnappée par 4 hommes recrutés par sa mère, c'est l'hypothèse actuellement privilégiée par les enquêteurs. L'un des ravisseurs aurait avoué avoir été manipulé par la femme.

L'inquiétude est grandissante, la mère, Lola Montemaggi, âgée de 28 ans, serait décrite par les médias comme réfractaire à la vie en société et sensible aux thèses complotistes. On lirait sur son profil Facebook qu'elle aurait entre autres montré sa sympathie avec des mouvements anti-vaccins, anti-5G, qu'elle aurait de même relayé de fausses informations au sujet d'un « Nouvel Ordre Mondial » ainsi qu'une fake-news présentant l'OMS comme incitant à la masturbation des enfants. Elle aurait tenté de déscolariser sa fille pour lui prodiguer un enseignement à domicile, mais après une enquête minutieuse l'autorisation lui aurait été refusée, le Procureur de la République indiquant aujourd'hui que la femme était décrite comme suicidaire et violente envers son conjoint. Une enquête aura donc conduit au placement de la fillette auprès de sa grand-mère, et vu le danger que représente la mère pour son enfant le juge avait même ordonné que les visites se fassent systématiquement en présence d'un tiers.

Cette séparation vécue comme une injustice aurait conduit la mère à se rapprocher d'un réseau complotiste pour recruter les quatre kidnappeurs grâce à Internet. Selon l'un d'eux, c'est à peine vingt minutes après ce qu'il nomme une « exfiltration » qu'ils auraient remis l'enfant à sa mère. Cette dernière avait déjà fait connaître ses projets de vendre le mobilier familial et d'acquérir un camping-car pour se mettre « en dessous des radars de la société » ; on soupçonne qu'elle ait donc franchi la frontière avec l'enfant.

Le ministère de la Justice précise que, pour la sécurité de l'enfant, même si la fillette n'a pas été retrouvée, désormais ses photos NE doivent PLUS être diffusées.

Encouru : 20 ans de réclusion criminelle (article 224-1 du Code Pénal).
Une source : BFMTV.



 

4 avril 2021, Marseille : Elle aurait poignardé sa fille de 6 ans parce qu'elle avait mal fait ses devoirs.

C'est ce qu'expliquera la fillette aux policiers, après qu'elle ait été prise en charge à l'hôpital du 15ème arrondissement. Sa mère se serait emportée et lui aurait assené volontairement un coup de couteau à la tête, avant de recouvrir la blessure de farine soit disant pour stopper le saignement. La fillette fera finalement l'objet de 4 points de suture à la tête et de 4 jours d'ITT.

Face aux enquêteurs la mère parlera d'un « geste accidentel » commis pendant qu'elle faisait la cuisine, elle aurait simplement voulu faire peur à sa fille mais « n'aurait pas pu arrêter son geste, blessant la victime »... Sauf que le père, venu porter l'enfant aux urgences, évoquera plutôt une chute de sa fille sur le couteau, tout en qualifiant son épouse de « folle ». Bref les deux parents n'ont pas vu la même chose tout en étant d'accord que ce n'est SURTOUT PAS la faute à maman... Un bel exemple d'éducation où l'on apprend à ses enfants que dans notre beau pays il vaut mieux tenter sa chance à prendre la police et les juges pour des jambons, plutôt que de dire la vérité et de reconnaître sa faute. Heureusement l'expertise médicale écartera rapidement la thèse de la chute pour retenir celle d'un coup porté avec une arme blanche.

Le parquet a requis une requête en assistance éducative pour toute la fratrie, les quatre enfants ont été confiés à des membres de la famille. La mère de 32 ans sera jugée en juin prochain au tribunal correctionnel.

Encouru : 3 ans de prison et 45 000 euros (article 222-13 du Code Pénal).
Une source : Actu17.fr.



 

25 mars 2021, Nantes : La policière avait inventé de faux-aveux pour faire condamner un homme pour viol.

Pour obtenir la garde d'un enfant ou des indemnités, grâce à #MeToo et aux tribunaux médiatiques nombre de femmes n'hésitent désormais plus à inventer de fausses agressions sexuelles, de faux viols, à s'auto-persuader de leur matérialité, qu'importe que leurs victimes finissent leur vie en prison. Un avenir d'autant plus compromis pour leurs victimes si la police, telle cette femme habilitée police judiciaire, est « persuadée de la culpabilité » de la personne dont elle est chargée de recueillir les déclarations. Dans cette affaire l'IGPN mettra à jour des éléments falsifiés dans deux affaires graves, de faux-aveux dans un premier dossier, une falsification de date dans le second.

En colère contre la policière, le procureur de la République confiera au sujet des services de police et de gendarmerie : « ils sont nos yeux sur le terrain. Or, si mes yeux me trompent, je me trompe… Si on commence à douter de cela, c’est tout notre système qui s’effondre. » Le procureur expliquera avoir ressenti les effets d'une « balle dans le dos », d'un « coup de couteau ». Une trahison dont ont peut légitimement se demander si l'origine ne se serait pas à chercher au cœur des stages de sensibilisation au sujet des violences conjugales, des agressions sexuelles et des viols, diligentés depuis quelques années par les réseaux néoféministes auprès de ces professionnels. Un policier nous confiera sur le sujet : « En formation on vous martèle désormais qu'une femme qui vient déposer plainte dit la vérité, que son viol a réellement existé, que c'est l'unique approche admissible quoiqu'elle raconte, que si vous avez un doute c'est à vous de vous remettre en question. Plus tard vous recevez l'homme suspecté, votre opinion sur sa culpabilité est faite avant même qu'il ne s'assoit. »

Interrogée par l'IGPN la policière tentera de minimiser sa responsabilité en parlant d'une « mauvaise interprétation » des propos du prévenu, d’une « maladresse ». Elle invoquera un contexte compliqué, le récent décès de son père, une dépression etc.

Les faux aveux mèneront la victime à purger un an de détention provisoire puis à être jugé pour « agression sexuelle sur personne vulnérable ». Il sera finalement relaxé et recevra 30 000€ d'indemnité de la part de l'État. Son avocat expliquera au sujet de ce dossier : « En tant qu’auxiliaire de justice, il remet en cause beaucoup de choses dans ma pratique professionnelle : imaginez qu’on n’ait pas les enregistrements vidéo de l’audition de mon client… Qui l’aurait cru devant les assises ? »

Verdict : 2 ans de prison avec sursis, interdiction définitive d’exercer une activité de police judiciaire au sein de la fonction publique. Le procès au civil est attendu prochainement, elle pourrait être condamnée à 10 000€ de réparation pour préjudice moral à verser à la victime.
Une source : Actu.fr.



 

24 mars 2021, Orléans : Elle poignarde son mari dans le dos puis tente de se faire passer pour une victime.

Nouvelle affaire de femme génétiquement programmée pour être une innocente-sainte-victime-pure-douce-etcétéra mais qui aura surtout tenté d'assassiner son mari en lui plantant un couteau dans le dos. Pour les moyens de sa défense et parce que c'est dans l'air du temps, elle aura ensuite tenté de prendre ses juges pour des jambons en s'inventant une vie de femme battue.

Sauf que dans cette affaire la gentille-sainte-innocente est surtout connue de son entourage pour être une menteuse, une mythomane qui s'inventait des identités, des vies, une femme qui selon la victime aura été surtout adepte de la violence contre lui. Ainsi, dans des échanges de SMS, on découvre le quotidien d'un conjoint violenté qui ne comprend pas "« qu'elle fasse courir la rumeur qu'elle serait une femme battue. » Comme toute réponse sa tortionnaire minimisera les faits, reconnaissant toutefois « parfois être méchante ». Pour sa défense elle aura même voulu faire croire avoir pris le couteau pour se défendre, sauf qu'au même instant elle aura crié « Je t'avais dit de ne pas me quitter, je vais te tuer ». Sauf aussi que dans la matinée elle avait consulté des moteurs de recherches sur Internet en leur soumettant ces phrases : « coup de couteau mortel dans le dos », « elle poignarde le compagnon ». Elle aura ensuite envoyé ce SMS à une amie : « Je vais tuer mon ex ».

Heureusement que dans l'assaut elle n'aura réussi qu'à blesser légèrement son ex-conjoint qui aura donc pu témoigner à la barre. Si elle avait réussi son coup notre justice aurait certainement eu à juger une nouvelle Jacqueline Sauvage porteuse de la seule parole médiatiquement audible à notre époque, celle d'une femme.

Verdict : 12 ans de réclusion criminelle.
Deux sources : France Bleu 1, France Bleu 2.



 

22 mars 2021, Bergerac : La boulangère avait poignardé son mari, vos journaux s'evertuent à l'excuser parce qu'elle est une femme.

Les faits s'étaient déroulés en février, ce couple de boulangers s'était disputé sur fond d'alcool. Pour imposer son point de vue Madame avait alors saisi un couteau et poignardé Monsieur au sternum, perforant son foie.

Depuis, vos médias préférés se gargarisent de la seule et unique version de la prévenue : celle de la pauvre petite chérie en sucre, insultée, humiliée par son gros méchant mari, une douce épouse surtout « victime de l'alcool » qui animait ses gestes. Bah oui, cet alcool il se sera retrouvé là tout seul, peut-être même qu'en poussant un peu le bouchon on pourrait essayer de faire croire que c'est son mari qui lui aura mis un entonnoir dans la bouche pour y verser plusieurs litres ? Quoiqu'il en soit une chose est certaine : si ça avait été le mari qui avait « planté » sa femme alors vos journaux n'auraient pas usé de la même sémantique, l'alcool n'aurait pas été brandi telle une excuse de l'acte.

D'ailleurs ces mêmes médias oublient bien étrangement de préciser un fait, toujours le même dans pareil cas, celui qu'ils aiment particulièrement masquer parce que sinon leurs articles manichéens ne se vendent pas. Il s'agissait d'un cas de violences réciproques ; Madame la boulangère n'épargnait pas non plus son mari de moult noms d'oiseaux. Mais bon elle, c'est une femme ! Donc, malgré la Charte de Munich qui comme troisième devoir impose aux journalistes de ne pas supprimer des informations essentielles à la bonne compréhension des faits, vos journaux se sont senti en devoir d’œuvrer pour que la mémoire collective ne retienne que la jolie fable de la pauvre-gentille-femme-forcément-victime et de son salaud-de-mari-forcément-responsable-de-tout... Qu'importe que ce soit elle qui l'ait poignardé, ce serait même presque secondaire (voir normal ?)

Ah, au fait ! Ce mari est tellement méchant envers sa femme qu'il ne portera pas plainte contre elle. D'ailleurs il expliquera à la barre que son seul souhait est que leur vie de couple reprenne normalement. Mais bon, puisque vos journaux vous disent que c'est lui le gros méchant de l'histoire !... Heureusement le tribunal ne sera pas de cet avis.

Verdict : 8 mois de prison ferme, elle sera incarcérée immédiatement.
Une source : France Bleu.



 

19 mars 2021, Blois : Pour éviter d'en donner la garde au père, maman étrangle ses deux fillettes puis incendie la maison.

Pour vos néo-féministes préféré(e)s c'est une évidence : l'égoïsme, le narcissisme, la chosification etc. seul un homme en serait capable, surtout si cela mène à tuer l'objet humain ainsi possédé. Sauf qu'encore une fois l'actualité démontre que ces croyances misandres relèvent du cliché sexiste.

Ainsi, parce qu'un tribunal en aura accordé la garde au père, maman aura décidé qu'il n'en serait rien, que ses deux fillettes de 4 et 9 ans resteraient sa propriété à elle et elle-seule, quitte à les tuer. Elle les aura donc étranglé puis aura incendié la maison laissant croire à une tentative de suicide. C'est le père qui découvrira les cadavres des deux filllettes dans leurs lits, sous les décombres calcinés.

Verdict : 20 ans de réclusion criminelle.
Une source : Marie Claire.



 

12 mars 2021, Dax : Elle harcelait sexuellement son avocat depuis plus de 35 ans !

Pour le néo-féminisme et ses harpies ayatollahs, le harcèlement sexuel est l'expression même du « mâle dominant », un comportement aux racines déterminées par un chromosome que l'on reçoit à la naissance. Sauf que, comme souvent, ce fut une femme récidiviste qui fut jugée aujourd'hui par le tribunal correctionnel des Landes pour avoir harcelé son avocat depuis... les années 80 !

Et la qualifier de récidiviste est peu dire. L'avocat subira d'abord 13 années de vie à être quotidiennement épié, à recevoir des lettres d'amour, son ancienne cliente allant chaque jour jusqu'à l'attendre devant son cabinet puis le suivre jusqu'à chez lui. 13 années qui se solderont d'abord par un rappel à la loi puis plusieurs condamnations. Qu'importe, les débordements hormonaux de la prévenue se poursuivront jusqu'en 2015 où elle écopera d'un an de prison ferme ainsi qu'une interdiction d'approcher l'avocat jusqu'au 31 mai 2019.

Le lendemain, 1er juin, elle sera donc fidèle au poste, devant chez lui... Et c'est reparti pour un tour ! 3 mois plus tard, n'en pouvant plus, l'avocat déposera une nouvelle plainte. La harceleuse ne se présentera jamais aux convocations de la police, et un an plus tard, en décembre 2020, nouvelle plainte et toujours absence de la femme aux convocations de la police.

C'est hier, 11 mars 2021, que l'avocat sera finalement délivré de cette emprise psychologique. Sa prétendante sera enfin interpellée en flagrant délit de harcèlement, devant le domicile de l'homme. Elle sera diagnostiquée souffrant d'une psychose paranoïaque obsessionnelle, apte à recevoir une sanction pénale.

Verdict : 18 mois d'emprisonnement dont 1 an de sursis probatoire renforcé, obligation de soin, interdiction d'approcher la victime pendant 3 ans.
Une source : France Bleu.



 

11 mars 2021, Nantes : Maman frappait habituellement sa fille de 10 ans.

Une fille orpheline de son père à la naissance et n'ayant que sa mère comme repère affectif au quotidien. La présidente du tribunal parlera d'un examen médico-légal « assez effrayant » comportant moult « lésions » sur les bras et le visage, avec des antécédents de « carences maternelles multiples » qui auront déjà mené à un placement de la victime pendant trois ans de 2013 à 2016.

Pour expliquer la gravité de ses blessures la fille avait d'abord défendu sa bourrelle en incriminant les trois chiens de la mère, des molosses dont un de 80 Kg. Lorsque les traces étaient trop voyantes, honteuse elle allait jusqu'à s'absenter de l'école. Effrayée par ce quotidien de violence elle avait elle-même signé ses bulletins scolaires pour éviter de nouveaux coups.

Verdict : 6 mois de prison avec sursis, 2000 € de dommages et intérêts à verser à sa fille.
Une source : Actu.fr.



 

10 mars 2021, Quimper : Elle tue son conjoint puis « se sert de l’image de la femme battue ».

Ce seront les mots de la partie civile pour décrire le moyen de défense employé par cette femme qui avouera elle-même : « Je suis là à cause de l’alcool... Mais je ne m’étais jamais remise en question. Jusqu’à ma détention. » L'alcoolisme d'une maman qui mènera le père de ses deux premiers enfants à fuir avec les petits et à les élever seul. La victime, le père du troisième enfant, en se mettant avec cette femme il aura « rencontré le chaos. Un énorme gâchis. » regrettera la famille. Des violences réciproques suivront, permanentes, l'avocat général expliquant à leur sujet que « dans cette relation toxique, il y a deux victimes

Pour imposer son point de vue elle aura donc saisi un couteau à viande d'une lame de 32 cm et l'aura plongé dans le corps de sa victime, brisant une côte, jusqu'à transpercer le cœur.

Nous noterons que concernant cette affaire, comme d'habitude, vos journaux auront subtilement mis en retrait le fait que les violences dans ce couple étaient réciproques, certains allant même jusqu'à parler d'une femme (sans préciser "violente") victime d'un homme violent. Nous rappellerons donc à ces médias que la Charte de Munich impose comme troisième devoir aux journalistes de « ne pas supprimer les informations essentielles. »

Verdict : 10 ans de réclusion criminelle.
Une source : Ouest-France.



 

25 février 2021, Rouen : Son affaire provoque un trouble à l'ordre public, Alexandra Richard restera donc en prison en attendant son procès en appel.

En novembre dernier, dans l'émission Crimes & Faits Divers sur NRJ12 elle aura raconté avoir voulu faire peur à son mari en allant chercher un fusil, en le chargeant, puis en le pointant sur lui... Comme par hasard le coup serait ensuite parti accidentellement. Contrairement aux tribunaux médiatiques, les juges ne tomberont pas dans le panneau, en première instance elle sera donc condamnée à 10 ans de réclusion criminelle. Nous ne reviendrons pas ici sur les incohérences de cette version des faits, mais plutôt sur le fait que depuis ce verdict elle demandait sa remise en liberté en l'attente de son procès en appel.

Sauf que la médiatisation de son affaire, via des pétitions en ligne, face aux grilles d'un palais de justice, forcément ça passe mal. Et ça passe encore plus mal lorsque sa propre avocate, Maître Tomasini, avant le premier procès s'en est allée exhiber sa cliente sur un plateau de télévision pour tenter d'associer publiquement le cas de sa cliente à celui de la cause des victimes de violences conjugales. Nous avions déjà dénoncé cette véritable tentative de manipulation de l'opinion publique pour faire pression sur des juges via les tribunaux médiatiques, une autre avocate présente sur le plateau, Maître Florence Rault, avait aussi soulevé le danger de la manœuvre.

Aujourd'hui la chambre d'instruction de la cours d'Appel de Rouen a donc rendu son verdict en se fondant sur la médiatisation de l'affaire, Alexandra Richard restera donc en prison jusqu'à son procès en appel prévu fin 2021 à Évreux. Mal conseillée par son avocate, nous ne pouvons que suggérer à cette dame d'en changer rapidement. On ne peut que s'interroger sur la pertinence de confier son propre avenir entre les mains d'une avocate - candidate aux Européennes 2019 - dont les objectifs personnels et politiques mènent systématiquement ses clientes à devenir les jouets d'une idéologie de haine et de fracture sociale. La priorité d'un avocat devrait toujours consister à porter conseil dans l'intérêt de ses clients.

Verdict : Maintien en détention. Un appel de cette décision aurait depuis été déposé.
Une source : La Dépêche.



 

21 février 2021, Le Havre : Elle pénètre la bouche et le sexe de la fillette avec une cruche et un cendrier plein de cendres, les autres participants les sucent.

Le néo-féminisme adepte des clichés de sexe et de genre apprécie tout particulièrement laisser croire que les agressions sexuelles sur enfants, c'est génétique, que ce serait donc une exclusivité masculine. Sauf que l'actualité des tribunaux a une nouvelle fois démenti les allégations de ces harpies et démontré que des femmes savaient être tout autant perverses que certains hommes.

Les faits s'étaient déroulés lorsque cette fillette avait 8 à 10 ans. S'adressant à sa bourrelle, le président du tribunal précisera les faits : « Elle est coincée par deux personnes : l’une qui lui tient la tête et l’autre le bras. Et vous allez introduire dans sa bouche un objet qui a une forme phallique : un cendrier ou une cruche ». Le tribunal démontrera qu'ensuite les adultes présents à cette scène se mettront à rire de leur petite victime, dont sa propre mère, la fillette finira par se coucher seule en larmes. L'horreur se poursuivra le lendemain, avec cette scène remémorée à la prévenue par le président du tribunal. La petite fille « ...est dans sa chambre. En pyjama, elle est allongée sur le lit, elle pense être dans un demi-sommeil, mais elle découvre votre présence avec un objet du même ordre, présenté à hauteur de son sexe, avec un début de pénétration ». La prévenue précisera : « La cruche, on mettait de l’eau dedans. Le cendrier on mettait des cendres dedans », ils « passaient de main en main » entre adultes, ensuite ces derniers les suçaient.

L'expert psychologue pointera un « climat incestueux dans sa globalité », un « fonctionnement sadique » et une « absence d’empathie ». Il diagnostiquera une victime atteinte d'un stress post-traumatique sévère, il perdure jusqu'à aujourd'hui, plus de 20 ans après les faits. Effectivement, suite à ces traumatismes, la petite fille vivra une adolescence très compliquée, « cauchemars, pleurs, idées noires... » Devenue depuis une femme, sa vie continue à être minée par son vécu de petite fille. À la naissance de son premier enfant elle a vécu « des réminiscences du traumatisme » qu’elle avait subi. « À tel point qu’avec son mari, ils ont adopté leur deuxième enfant. (...) Son obsession, c’était surtout que ça ne recommence pas ».

Verdict : 4 ans de prison.
Une source : Paris-Normandie.



 

18 février 2021, Trouillas : Elle tue la fillette après l'avoir battue, humiliée, séquestrée, privée d'eau...

... Mais forcément la prévenue - sa belle-mère - racontera que la fillette de 2 ans serait tombée dans la douche. Sauf que l'expert découvrira sur le corps de la petite victime pas moins de 50 ecchymoses, visage, crâne, dos, jambes, bras... La datation les portant à moins de 48 heures avant le décès. L'expertise notera une trace de lien au niveau d'une cheville, une voisine témoignera que la fillette était séquestrée des heures entières dans son lit, « elle était punie en permanence ». Les témoignages à la barre permettent de percevoir le quotidien de la petite victime, subissant de cette mère « à longueur de temps des insultes et des grossièretés », « Elle n'avait quasiment jamais le droit de boire ». Pour la nourrir la tortionnaire lui pinçait les joues et la gavait de force. Les restes d'un soupé non terminé au soir lui étaient resservis au petit matin. Enfin, la fillette était totalement coupée du reste de la famille.

L'accusée avait reçu la garde de la petite fille suite à l'incarcération de son père, depuis décédé. Cette femme avait déjà fait l'objet de 14 signalements auprès des services sociaux, les experts la décriront comme « totalement autocentrée » et « immature » : « une mauvaise mère », « dangereuse», et « qui manifeste plus de sentiments pour ses quatre chiens que pour ses enfants ».

Encouru : Verdict 20 ans de réclusion crimienlle, privation de ses droits civiques, civils et de famille pour une période de 10 ans.
Deux sources : 20 Minutes, France Bleu.



 

10 février 2021, Lorient : Elle tue son enfant de 7 ans parce qu'il refuse de se laver ?

C'est la thèse qui ressort à l'heure actuelle des investigations policières et des explications de la mère. Le procureur de Lorient déclare que « l'enquête diligentée par la Sûreté départementale du commissariat de Lorient a permis d'établir que le jour des faits, une altercation avait éclaté entre l'enfant et sa mère à l'intérieur de l'appartement familial ». La mère dira que son enfant avait fugué l'appartement avant de revenir quelques heures plus tard. Plusieurs témoignages semblent attester que la mère lui aurait alors imposé de se laver, ce qu'il aurait refusé. Elle lui aurait alors « ligoté les mains et les pieds et lui aurait placé un bâillon dans la bouche, avant de le traîner dans la salle de bains ».

L'autopsie pratiquée mardi dernier a confirmé que « la mort est a priori survenu des suites d’une asphyxie modérée ». La mère expliquera avoir bâillonné son fils parce qu'il était épileptique... Aujourd'hui elle vient d'être mise en examen pour meurtre sur mineur de 15 ans par ascendant et a été écrouée.

Encouru : Réclusion criminelle à perpétuité (article 221-4 du Code Pénal)
Une source : Le Figaro.



 

6 février 2021, Reims : Tony, 3 ans, massacré par son beau-père alors que maman choisi volontairement de ne rien faire.

Tony, 3 ans, enfant martyr sous les coups habituels et répétés pendant un mois. 60 ecchymoses seront constatées par le légiste sur le corps de la petite victime, dont 20 sur le visage, il sera retrouvé le nez éclaté, la violence des coups ayant fait voler l'enfant dans les airs jusque dans un placard, la rate et le pancréas explosés.

Pas loin du beau-père monstrueux qui aura commis ces horreurs, une mère qui a décidé volontairement de ne pas s'interposer, ni même jugé utile d’appeler à l’aide. Un comportement que l’on retrouve à l’audience : aucune compassion envers son enfant, simplement son envie de se défendre elle et elle seule, avançant l’argument de la peur suscitée par son compagnon pour expliquer sa passivité. Sauf que l’expert psychologue décriera une maman exempte de toute forme d'emprise de la part de son nouveau conjoint. Il précisera que si pour les moyens de sa défense la mère tente à tout prix de se faire passer pour une femme soumise à son conjoint, dans les faits cette soumission relevait surtout de son seul choix, parfaitement conscient et volontaire, effectué ni sous la contrainte ni par amour de son fils mais uniquement par amour d’elle-même et de son conjoint. Une mère qui face aux coups portés à son fils aura eu à chaque instant la capacité faire cesser les violences, une mère qui aura eu toute latitude de protéger son enfant, mais qui aura choisi coûte que coûte de ne pas le faire.

Des faits énoncés aujourd’hui sur NRJ12 dans l’émission Crimes & Faits Divers par l’association l’Enfant Bleu, avec comme précision que le beau-père tortionnaire aura reconnu l’atrocité des actes qu’il a commis, qu’il aura considéré parfaitement justifié qu’il soit lourdement condamné, peut-être aussi un espoir à entrevoir dans le fait qu’il se soit engagé dans la voie des soins et de la repentance. L’association d’aide aux enfants battus précisera qu’à l’opposé nous avons à faire à une mère aujourd’hui toujours dans le déni, une mère qui par la voix de son avocat aura exprimé son incompréhension face à sa propre condamnation. Enfin une pensée pour le père biologique, détruit et aujourd’hui bien seul dans sa colère face à la clémence d’un verdict qui lui est intolérable. Et pour conclure, ces mots terribles de l’association l’Enfant Bleu dénonçant le contexte d'une omerta familiale autant que scolaire, tous ces gens qui ne seront jamais poursuivis alors que jour après jour les bleus sur le corps et le visage de Tony s’accumulaient, qu'on ne pouvait que les constater, tous ces gens qui savaient mais qui - eux aussi - ont jugé urgent de ne surtout rien faire pour alerter les secours.

Verdict : 20 ans de réclusion criminelle pour le beau-père, 4 ans de prison dont 1 an avec sursis probatoire pour la mère.
Deux sources : Association l'Enfant Bleu, 01 56 56 62 62 , AlerterPourSauver.org, 119 .



 

30 janvier 2021, Reims : Éconduite, elle avait commandité le meurtre de son ex-copain en racontant avoir été violée.

Puisque vos ministres préféré(e)s chantent à tue-tête qu'une femme qui raconte avoir été violée dit forcément la vérité, alors il vous faudrait les croire bien docilement ET SURTOUT ! sans trop vous poser de questions. Sauf que...

...Trois mois avant le drame, Kevin, jeune étudiant de 17 ans en terminale S, avait quittée Océane. Mais la jeune femme ne l'avait pas supporté. Elle avait donc décidé de se venger et avait contacté un de ses ex, Adrien, pour lui raconter avoir été violée par Kevin ainsi qu'être harcelée sur les réseaux sociaux. Adrien, toujours amoureux d'Océane malgré le temps passé, tombera dans le panneau et ensemble ils monteront un véritable traquenard pour piéger Kevin. Le soir du crime, une heure avant de le commettre, Océane et Adrien s'étaient vus à la bibliothèque pour finaliser le guet-apens.

Océane avait alors donné rendez-vous à Kevin au Bois-des-Sœurs de Mourmelon-le-Grand. Une heure plus tard, alors que les deux jeunes gens marchent, Adrien surgira armé d'un couteau américain et en assènera pas moins de 34 coups à Kevin, dont 20 dans le dos. La victime mourra de ses blessures pendant qu'Océane appellera le 17 en prétextant qu'un « agresseur grand et basané » aurait bondi sur eux pour lui volé son sac à main. Cette description avait même été suivie d'un tweet de Marine le Pen expliquant « Je refuse de m’habituer à cette barbarie qui tue la jeunesse de France », tweet rapidement supprimé.

Considérée comme une victime collatérale, Océane fera mine d'aider les enquêteurs à établir un portrait-robot, elle s'évertuera surtout à leur communiquer des informations erronées. Ce sera un appel à témoin qui lancera la police sur les traces du tueur, qu'ils retrouveront chez lui, ainsi que l'arme du crime et des vêtements souillés du sang de Kevin. Océane sera rapidement placée en garde-à-vue, le parquet de Châlons-en-Champagne invoquant « d'importantes contradictions entre son témoignage initial et des éléments révélés par les investigations ». Les deux prévenus ayant 17 ans au moment des faits, l'excuse de minorité sera retenue à leur bénéfice.

Verdict : 19 ans de réclusion criminelle pour Océane ayant commandité le meurtre, 18 ans de réclusion criminelle pour Adrien.
Trois sources : France Bleu , Ouest-France et L'Union.



 

28 janvier 2021, Paris : Popeck confie avoir été battu et violé par sa femme, ainsi que contraint à un mariage forcé.

Un témoignage bouleversant confié par le comédien Popeck aujourd'hui 28 janvier 2021 dans l'émission L'instant de Luxe, sur Non Stop People : « Peut-être que ça va déplaire à beaucoup de gens... En ce moment, il y a toutes ces révélations d’inceste, de viols, eh bien moi, pourquoi me suis-je marié avec ma femme ? Parce qu’elle m’a violé. J’ai été violé. Parfaitement. J’ai été violé ». Popeck précisera avoir été victime d'un comportement discriminatoire sexiste de la part des policiers chargés de recueillir sa plainte : « J’ai porté plainte à la police. Les flics se tapaient sur les cuisses parce qu’une femme battue, on la plaint, un homme battu, on en rigole ».

Un calvaire précédé par un mariage forcé à l'âge de 19 ans, un mariage qui lui sera imposé par une autre femme qu'il considérait comme sa propre mère : « (...) La fille en avait 17. Elle est tombée enceinte et c'est la directrice du foyer, que je considérais comme ma mère adoptive, qui a décidé que je devais l'épouser ».

Peine encourue par l'auteure du viol : 15 ans de réclusion criminelle (Article 222-23 du Code Pénal)
Deux sources : Femme Actuelle et JForum.fr.



 

26 janvier 2021, Nantes : Elle avait empoisonné une collègue avec du détergent.

Les faits s'étaient déroulés au CHU de Nantes, au troisième étage d'un bâtiment administratif. La victime, une assistante de formation, était connue de ses collègues pour souffrir d'une perte d'odorat... Ne pouvant déceler le danger, elle boira une gorgée de sa bouteille d'eau aromatisée à la grenadine. Immédiatement elle ressent « un goût chimique et intense en bouche » et des brûlures lui prennent à la gorge. Alertée, à son tour sa responsable de service hume le liquide et décèle immédiatement « une odeur chimique, ne correspondant en aucun cas à de la grenadine seule ». Après avoir ramené le flacon chez elle, la victime soumettra le liquide à son conjoint qui témoignera d'une insensibilisation immédiate de ses lèvres. Une plainte sera alors déposée et une analyse est effectuée sur le contenu de la bouteille.

Six jours plus tard, avant que les résultats tombent, la responsable du service a une intuition : l'odeur qu'elle avait senti au goulot de la bouteille d'eau ressemble à celle d'un flacon de détergent présent dans une armoire de nettoyage du bureau. Immédiatement elle contacte la police et lui remet le produit pour analyse. Moins de 48 heures plus tard, apprenant que des analyses sont en cours, la collègue de bureau de la victime se met en arrêt de travail au motif quelle se sent « chamboulée » par les événements. Elle avouera quelques temps plus tard avoir versé le détergent dans la bouteille d'eau de sa collègue, sachant que cette dernière ne pourrait détecter le poison du fait de sa perte d'odorat.

À la barre l'empoisonneuse invoquera sa « mise au placard » de la part de la hiérarchie pour justifier de son geste, elle admettra elle-même que sa collègue n'y était pourtant pour rien. À ce jour la victime est toujours en incapacité de reprendre le travail.

Verdict : 6 mois de prison avec sursis.
Deux sources : 20 Minutes et Ouest-France.



 

19 janvier 2021, Le Mans : Coups, griffures, gifles, la charcutière se déchaînait sur son conjoint.

Ce sera le fils de l'homme battu qui donnera l'alerte auprès des enseignants de son école. Après 2 années de vie commune avec la tortionnaire, les coups que son père recevait étaient devenus habituels. Encore marqué par les stigmates de ces violences, lui expliquera à la barre : « Quand on est pris dans les griffes, c’est comme un étau. On se dit que ça va passer, et puis… ». Sa conjointe de 33 ans, employée dans la charcuterie pendant cette période, justifiera les coups qu'elle lui portait par des « périodes de tension », « Je prenais de l’alcool et des antidépresseurs. Je pétais les plombs, j’explosais sur lui ».

Elle tentera de prendre ses juges pour des jambons, niant les coups avec comme explication qu'elle est une femme, n'ayant donc « pas du tout de force ». Sauf que le président du tribunal connait la chansonnette, il lui répondra donc « Vous avez exactement le même discours que les hommes violents. Ce n’est pas parce qu’on est un homme que l’on commet des violences, mais parce qu’on est un membre du groupe. Cela dépasse le genre

Verdict : 4 mois de prison avec sursis.
Une source : Ouest-France.



 

14 janvier 2021, Lorient : Elle avait tabassé son médecin...

... Il s'en sortira avec une côte cassée, le visage couvert de griffures, cheveux arrachés et paupière abîmée, huit jours d'ITT seront prononcés.

Il était venu au petit matin pour la consultation d'une fillette d'un an et demi atteinte d'une otite et d'une rhino-pharyngite. L'examen nécessitait que la fille soit tenue dans une position précise, le médecin demandera donc à la mère de l'aider. N'y parvenant pas, la mère commencera à s'énerver puis accusera le médecin de ne pas être aimable. Face à ces difficultés lui préfèrera partir et donner le relais à un collègue. Sauf que maman, en colère, refusera de le laisser partir tant qu'il n'aura pas délivrer une ordonnance. Elle barrera donc l'issue puis se mettra donner des coups au médecin, thorax, visage, en n'oubliant pas de le griffer et de lui arracher les cheveux. In-extremis il réussira à s'emparer de son téléphone et appelera les secours tandis que les coups continuent à pleuvoir. Enfin elle le jettera dehors.

À la barre la prévenu tentera de justifier ses violences en expliquant avoir été « stressée » du fait de l'état de sa fille, puis accusera le médecin d'avoir eu une attitude « tendue » face à elle. Le spécialiste répondra qu'il était parfaitement serein, il s'agissait de la première visite de sa journée.

Verdict : 6 mois de prison avec sursis.
Deux sources : Le Télégramme et Ouest-France.



 

 

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